La Tour de Fer

Démon Nombre de messages : 100 Age : 32 Date d'inscription : 02/03/2010

La tour de fer est un des endroits les plus lugubres du royaume démoniaque, elle est située au milieu du cimetière démoniaque et avait en permanence un nuage d’une noirceur incompréhensible
à son sommet que tyrian avait acheté les droits à son retour à la vie, les âmes sensées trouvées le repos éternel errait dans les lieux car le nouveau propriétaire trouvait de nouvelles utilités à leur corps décédé. Des cadavres pendaient des extrémités pointues de la tour déformé. La tour était impressionnante mais n’avait rien de compliqué, elle avait 3 étages dont le premier pour « l’exploitation » de ses « pensionnaires », un deuxième pour ses expériences et finalement le dernier pour observer le monde humain et
recevoir des demandes du roi en personne. L’état de la tour indiquait que le propriétaire ne se souciait aucunement de la propreté des lieux. De plus, la simple odeur des lieux suffisait à lever-le-cœur de l’homme le plus courageux.

Tyrian passait encore plus d’une dizaine de nuits blanches d’affilée a travailler a sa nouvelle invention, un poison qui tuait en 66 jour et dont la douleur infliger augmentait à chaque jour et laissant un répit de 2 jour sans douleur avant de refaire surface violemment,
lorsque soudainement une lueur apparaisse dans son escalier en spiral ce qui signifie que le roi en personne devait lui adresser quelques mots. Un mine exaspérer passa à son visage mais il se déplaça tout de même car jamais, oh grand jamais quelqu’un ne devait manquer de respect a ce roi démoniaque.

Effectivement, Azazel lui-même c'était déplacé pour voir la liche. Il avait de grand plans, des dessins afin de garder les anges loin pendant qu'il massacrait les élus. Et pour cela, il lui fallait quelque chose de magistral. Il lui fallait les affaiblir. Et cette liche, avec sa connaissance des poisons, avec ses connaissances de l'agonie lui apporterait la réponse.

Dans les escaliers, le roi montait lentement, une succube au bras dont il ne se génait pas à abuser. Celle-ci n'aidait pas, elle le provoquait, elle montait la tension. Oh l'idiote! Il ne fallait jamais se montrer ainsi avec le roi. Il la regarda férocement, quelques secondes se passèrent et elle tomba pour morte. Cela ne fera qu'un corps de plus pour les expériences. Il termina la montée et apparut devant le "scientifique". Son regard bleu se planta alors dans celui de la liche, il attendit patiemment le signe de respect, puis prit alors la parole.

- Toi, maître des poisons. Tes talents me seront fort utiles. Je veux que la peste frappe les anges. Je veux une maladie qui est indetéctable et qui tue, à petit feu mais dans d'atroces souffrances. Et que son antidote, ce soit seul moi qui le possède. Je veux cela pour bientôt, ne me fais pas attendre, liche.

Il l'observa, lui faisant clairement comprendre de ne pas le décevoir.

- Accomplis cela et je te donnerais l'objet de ton désir, la griffe de La Bête.

Puis il déploya ses ailes et disparut, ne laissant qu'un souvenir de son aura maléfique mais bénite à la fois. Il avait autre chose à faire, il devait sortit l'apocalypse de son sommeil...

Démon Nombre de messages : 100 Age : 32 Date d'inscription : 02/03/2010

La lich en resta patois lorsque le roi demanda cette requête.oui il pouvait faire ce qu'il demandait mais pas aussi rapidement qu'il le voulait, car il lui fallait un ingrédient des plus difficile à obtenir. Il lui manquait une dizaine de plumes d'anges ainsi le poison sera indétectable mais de plus si il est découvert les humains penseront que les responsables n'était autre que les anges eux-mêmes,
mais Tyrian détestais la sale besogne.Il se devait de trouver un moyen de manipuler le roi afin que quelqu'un d'autre obtienne ces plumes.

Il se devait de réussir car la griffe de cette chose mystérieuse connue sous le nom de la bête lui permettrait d'augmenter radicalement le pouvoir de ses poisons.

Mais un problème a la fois, il descendit au deuxième étage et sorti de l'une des cages suspendues au plafond un animal ressemblant étrangement à un mélange de chauve-souris et de scarabée, et lui confia une missive qu'il apporterait au palais.